FÊTE DE LA CITE( POUR TOUT LE MONDE!!!!)

Les sons des violons, des cithares et des vielles emplissait la grande place de la cité. Tout les gens de la grande ville étaient réunis là pour ce grand jour, qu'ils soient fermiers ou nobles, commerçants ou prêtres. Le brouhaha permanent qui s'émanait de la place provenant des échoppes et magasins en pleine air disposés en cercle,longeant les murs de l'endroit. Des applaudissements et acclamations retentissaient de scènes,disposées ça et là, dont les gitans, troubadours et bateleurs occupaient toute la surface disponible,déconcertant la foule par des tours de passe-passe, impressionnant les passants grâce à leurs cracheurs de feu et dresseurs d'animaux aussi insolites ou banals les uns-que les autres, hypnotisant l'assemblée par leur musique, leur danseuse et leur jongleur. Bien évidemment, parmi toute cette foule, il y aura toujours entêter qui voudront vous trouer la bourse. Mais ces gens-là seront toujours du même nombre que ceux qui ne trouve aucun intérêt dans ces festivités et qui, pour une raisons ou pour une autre, seront tout de même obligés d'y participer, ou tout du moins y assistés. Par delà la place, où les gens dansaient toute sorte de gigue, de bourrée et autres danses traditionnelles près de la fontaine, les étoffes s'éloignaient sans la Grande'Rue et autre rue qui donnait lieu au carrefour. L'une d'entre elle d'ailleurs, présentait tout sorte de jeux pouvant existait, qu'ils utilisent des dès des cartes ou même des animaux dans des paris ou par simple amusement, évidemment vous ne trouverez pas de personnes assez folle pour sacrifier la vie de leurs insectes ou petits serpent de combat pour un but purement divertissant. C'est donc ainsi que les gens allait, s'arrêtaient, s'éloignaient, achetaient, troquaient et vendaient dans la bonne ambiance qui régnait dans ce jour.
Mais ne nous attardons pas plus sur les détails de l'ambiance et concentrons-nous à un endroit bien précis de la Grande'Rue, ou plutôt une personne qui s'y trouve. " Auberge de chez Laurent", c'était mot pour mot ce qui était écris sur l'enseigne de fer qui dépassait de la façade rouge bordeaux dont les trilles était en croix de Saint-André. Les vitraux qui se trouvait au rez-de-chaussé et qui étaient presque identiques de part et d'autre de la porte d'entrée, représentait deux homme de profil allongés dos-contre-dos et tenant des choppes de bière dans leurs mains, et près d'eux était représentait des bouteilles de vin, des grappes de raison et ce qui semblait ressemblait à de la volaille, cuisinée évidemment, au creux d'une grandes assiette. De par la porte, l'on vit sortir une jeune fille vêtue de l'habituelle robe dont toute les jeunes filles de niveaux moyens et possédant un minimum de coquetterie,se nippaient. Mais cette robe procurait une sensation autre quand l'on regardait la jeune fille; celle qu'elle ne lui convienne pas du tout et que malgré la beauté et la finesse de son visage et de ses cheveux, la couleur, si ce n'est la forme du tablier, brisait une certaine parfaite harmonie qui aurait put s'émanait de cette jeune femme. Jeune femme qui était anxieuse ou plutôt légèrement courroucée d'avoir été mise à la tâche de la livraison le jour de la fête de la cité. Il était malaisé de se faufilait à travers la foule aisément, surtout lorsque vous tenez un ou plusieurs paquets dans vos bras. Il n'était pas évident de se concentrer et de se repérer avec le flot de gens et de bruits qui ne diminuaient jamais n'importe où où vous soyez. Et il était difficile de ne pas résister à la tentation de s'arrêter pour profiter du spectacle et du divertissement qui nous était offert. Mais notre jeune femme, dénommée Korydwen, ne se plaignit pas vraiment de cette besogne la, elle s'en réjouit assez vite. Car une fois la livraison terminer, elle aurait libre cour de faire ce qu'elle voudrait. Elle se hâta donc du mieux qu'elle pouvait pour atteindre l'une des auberges ,avec qui le "patron" avait un lien, et qui avait comptée sur trop peu de réserve pour un jour de fête où il était extrêmement rare de voire une table vide. Un fois ça livraison terminée, Korydwen décida de passer par un autre chemin que celui habituel pour voir un peu plus de ce qu'offraient les festivités et eut le pressentiment de faire une rencontre joyeuse en ce jour.

(ça c'est de l'intro XD bon pour ce qui n'ont jamais fait de Rp, vous n'êtes pas obligés de tout détaillé comme moi ni de faire si long pour raconter si peu de chose, vous pouvez dire que vous me voyez , que vous m'adresser la parole mais n'oubliez pas que vous n'avait pas le droit de faire agir mon personnage.(je le rappelle même si c'est écrit dans le règlement parce que bon... on est à l'abri de rien)

(ok meri pour ton explication ! )

Une jeune fille qui avait pris l’habitude de suivre Korydwen, bien que celle-ci ne le sache pas, fut étonnée de la voir passer par ce chemin inhabituel. Cette fille se dénommait Luna, cette magnifique guérisseuse qui, comme a son habitude, était de court vêtu, ne passais donc pas inaperçu dans ce flot de personnages avait sa besace a moitié remplis d’herbe de tous genres et ce faisait la plus discrète possible bien que ceux-là n’était pas un mince affaire. Donc, quand celle-ci vit Korydwen aller vers cette rue pleine d’enthousiaste, elle décida d'aller lui parler pour en savoir plus sur cette mystérieuse jeune fille qui, bien qu'elle fût en tous point comme les autres, elle avait quelque chose qui la rendait différente, spécial... Et qui intriguait Luna. Elle s’approcha donc de la jeune demoiselle et l’aborda avec un sourire détendu :
« Bonjour mademoiselle Korydwen, c’est assez rare de vous voir par ici. Quelle bon vent (du moins je l’espère) vous amène ?
Ah, excusez moi, j’oublier la question principale : comment allez vous ? »
La voyant étonné elle reprit :
« Non pas la peine de chercher vous ne me connaissez pas encore… Enfin… Pas VRAIMENT… »

Korydwen regardait autour d'elle, prenait chaque odeur qui flottaient par là et se remémora les souvenirs des fêtes que les hommes portaient en son honneur et à celui de ses frères. Cela remontait à quelque millénaire et sachez qu'à l'époque les plus grandes villes devaient égaler celles qui nous semblent bien pathétique aujourd'hui. Mais les gens n'oubliez jamais qu'ils étaient de la mêmes ville et l'entente en villageois, ou citoyen, était beaucoup plus développer que de nos jours.
Une personne, soudain, vint rompre le fil des pensées de la jeune louve qui fut tout éberlue de voire une inconnue connaître son nom et de lui adresser la parole au beau milieu de la rue.

« Bonjour mademoiselle Korydwen, c’est assez rare de vous voir par ici. Quelle bon vent (du moins je l’espère) vous amène ?
Ah, excusez moi, j’oublier la question principale : comment allez vous ? »
-Euh....
« Non pas la peine de chercher vous ne me connaissez pas encore… Enfin… Pas VRAIMENT… »
-..Hein? Excuse moi mais qui es-tu? Il me semble te connaître mais je me souviens de rien à ton sujet, pas même où je t'ai rencontrée..."

Cette situation agacée Korydwen. Elle haïssait les trous de mémoire, qui étaient pourtant rares. Elle regarda fixement la jeune inconnue pendant un long moment avant d'avancer vers elle pour humer son odeur. Elle savait enfin pourquoi elle avait l'intuition de déjà connaitre la jeune fille, ou plutôt devrais-je dire la jeune Elfe. Elle portait l'odeur d'Elennya.

" Tu es donc de l'entourage d'Elennya. Ce qui est normal après tout il est rare que des elfes ne s'allie pas lorsqu'ils sont dans une même ville,continua-t-elle. Mais tu dois la connaitre depuis bien plus que quelques lune n'est-ce pas?

L'odeur est bien trop prononcée et ancrée sur sa peau pour cela pensa-t-elle

-..Hein? Excuse moi mais qui es-tu? Il me semble te connaître mais je me souviens de rien à ton sujet, pas même où je t'ai rencontrée..."

" Tu es donc de l'entourage d'Elennya. Ce qui est normal après tout il est rare que des elfes ne s'allie pas lorsqu'ils sont dans une même ville,continua-t-elle. Mais tu dois la connaitre depuis bien plus que quelques lune n'est-ce pas?

Luna ne disais toujours rien attendant et observant la réaction de Korydwen. Elle la regardait sans rien dire et sans se décider à répondre...Puis finalement ouvris la bouche et répondis:
"Peut etre que oui, Peut etre que non! Je viens de te le dire... Tu ne me conais pas vraiment alors arrete de te poser des questions inutils et réponds plutôt au miennes! "

La jeune elfe la regardait, indécise à répondre. Pourtant, après un long silence, elle décida enfin à lui répondre, non convenablement certes, mais ce fut déjà un début.

"Peut être que oui, Peut être que non! Je viens de te le dire... Tu ne me connais pas vraiment alors arrête de te poser des questions inutiles et réponds plutôt au miennes!"

Un grognement racla le fond de la gorge de la jeune louve. Elle n'aimait pas l'insolence que prenait la jeune elfe face à elle. Elennya l'avait sûrement bien trop influencé. Mais elle se ressaisit. L'inconnue était encore jeune, pour une éternelle évidemment, il fallait donc la ménager...un peu.
Korydwen emmena son interprète à l'écart pour ne pas subir les bousculades de la foules et pour parler dans le calme. Elle se tourna face à "l'entourage d'Elennya" et accepta de lui répondre, sceptique.

" Comment je vais? Disons que je suis irritée d'avoir une petite fille aussi malpolie face à moi. Quand on veut parler à une personne, la moindre des politesses ne serait-elle pas de se présenter non? Donc le fait de me poser des questions ne sera jamais inutiles. Surtout critique venant de toi, fautive."

Korydwen regarda fixement la jeune elfe. Elle ressentait de la colère, car c'est avec ce genre de jeu insouciant que les hostilités entre races "supérieurs'' sont nées. Un être de race supérieur était extrêmement dangereux pour un autre. Ainsi, les têtes de lignée avait mis au point un code de présentation lorsque deux être de ses races étaient amenés à se parler, le nom, l'appellation( ou surnom(non on exporte pas les êtres en tant que nourriture), le rang, la lignée et le surnom magique ou guerrier, bien que souvent on y trouve les deux. Bien sûr cela a été effacé avec le temps et Korydwen reste l'une des seules à toujours utilisée cette politesse. Elle trouvait les plus jeunes vraiment... irresponsable, surtout dans les temps qui courent.

"Aah... puisque Elennya ne t'as pas totalement influencée, surtout en ce qui concerne le code, laisse le moi t'apprendre!"


( Vous pouvez répondre à une première prise de parole mais éviter de poser une question alors que le personnage va encore parler après: exemple moi: -le chat sent mauvais. (narration) - un arbre rose...
Vous: elle dit: - le chat sent mauvais. - mais il sent le lila!! répondis votre personnage. - un arbre rose continua le mien.) (c'est assez explicite?)

Luna regarda la jeune Korydwen, tristement. La jeune fille ne comprenait donc pas... Luna ne se présentait pas parce qu'elle n'avait pas à le faire... Combien de personne se parle entre elles sans vraiment se connaitre mais juste pour pouvoir en savoir plus sur les personnes qui l’entourent... Luna se sentie irrité quand Korydwen commença à parler de Eledwen sur ce ton .... Eledwen était une jeune elfe belle à qui on devait le respect ! Luna n'était pas malpolie, loin de la ! Mais elle ne connaissait pas assez Kory pour savoir que la jeune femme s'énervait pour un oui comme pour un non !
« - Et bien… En voila des manières ! Je prends la peine de vous parler, espérant que l’on puisse s’entendre et tous sa pour quoi ? Mais pour rien parce que la miss Korydwen s’énerve directement, sans même essayé d’y mettre du sien… Merci. Et si vous connaissiez mieux le bois qui entoure notre cité, vous sauriez que j’y suis souvent et que Eledwen est plus qu’une amie, une sœur pour moi et que tu na pas a faire de remarque a son sujet ! Je dis sa mais ce n’est pas vraiment normal que vous ne connaissiez pas ce bois vu le temps que vous y passez ! » dit-elle sur un ton tranchant et plein de reproches…
Sur ceux, Luna, profitant de ses pouvoir de guérisseuse envoya une vague de calme, de sérénité et de sympathie a Korydwen avant de tourner les talons et de se diriger vers une autres jeunes fille qui était nouvelle dans la cité, cette jeune fille se nommait Laurelin.

Laurelin, voyant que la jeune elfe que la jeune elfe dont elle avait entendu parler quelque temps au paravent venait vers elle, elle prit son courage a deux mains et s'avança vers Luna. La jeune fille chantait pour gagner suffisamment d’argent pour vivre… Elle aimait chanter et ses chants avaient un pouvoir étrange. Elle s’était décider de faire de le jeune elfe une amie car celle-ci lui inspirait le respect et qu’elle avait l’air gentille. Laurelin marcha donc dans la direction de Luna .